À l'ère de l'information abondante et toute puissante, la qualité semble bien souvent sacrifiée au profil de la quantité. D'autant plus que tout un chacun peut désormais écrire ce qu'il lui plaît et être lu par la terre entière. Comment donc dénicher le bon contenu, le bon auteur et ainsi retrouver l'essence même de l'information, la vérité ?
"Le savoir, c'est le pouvoir."
Si savoir, c'est pouvoir, alors celui qui sait le plus, peut le plus. Or, ce savoir doit être transmis et de nos jours, internet en représente le principal canal. Qu'il s'agisse des réseaux sociaux ou des plateformes dédiées à l'actualité, les médias ne manquent pas et leurs sources d'information encore moins. Toutefois, et bien que cette accessibilité historique paraisse bénéfique sur le papier, la population n'a jamais semblé plus désinformée qu'aujourd'hui. Comment cela se fait-il ?
"Mais le savoir représente parfois un pouvoir trop grand."
Comme le souligne si bien Dan Abnett dans son roman Titanicus, dans des mains inexpérimentées ou mal intentionnées, un outil aussi puissant que le savoir risque de causer d'énormes dégâts. Il suffit d'analyser l'exemple des états totalitaires du vingtième siècle, ou plus récemment celui de la pandémie COVID-19 pour saisir la portée démesurée de la désinformation et des croyances erronées. Les journaux, quels que soient leurs supports, ont leur rôle à jouer.
Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités.
La presse endosse cette responsabilité de distinguer le vrai du faux et de le transmettre au plus grand nombre. Le problème ne provient pas tant de la rapidité de l'information que de sa véracité. Il s'agit d'une part de s'entourer d'informateurs fiables, d'autre part de rédacteurs authentiques et sérieux. Le lecteur ne devrait pas avoir à choisir entre quantité et qualité, alors œuvronsensemble pour lui garantir les deux.
Consultez d'autres textes de démo rédigés par nos rédacteurs web :